Ils nous donnent aussi des informations sur la personne et/ou son environnement : générationnel, météorologique, stylistique, fonctionnel…
Cet objet, élément de caractérisation visuel de ces individus, aboutit forcément à leur catégorisation, n’ayant pas d’autres éléments auxquels nous rattacher.
Le visible fait identité.
Cependant cette identité, induite par le visible, est réduite à la catégorie créée dans l’imaginaire. Il ne peut pas y avoir d’individualisation, comme dans un portrait. L’individu est ici réduit à un groupe, un genre, une communauté, une étiquette.